Une Tête Bien Faîte ! Un CERVEAU !

Voici une vidéo qui souligne l’importance du Cerveau et de la Neuro Ergonomie dans l’Atelier FootEyes

https://youtu.be/QeIyuVqUKfA

après ce clip, nous pouvons avoir une conviction :

Chacun de nous
est une Rolls-Royce

fabriquée avec beaucoup de soin, personnalisée à l’extrême… Aucun ne ressemble à son voisin.

La carrosserie est différente, mais la plus grande différence se trouve à l’intérieur. Tout y est : levier de vitesse, frein à main, pédale pour le frein à pied, accélérateur et même le régulateur de vitesse et le Bluetooth…. Et c’est entièrement câblé… Mais….

Mais le constructeur nous laisse libre de mettre tout en place, petit à petit, et de prendre tout en main, au fur et à mesure, au fil des heures et des jours, au gré de nos découvertes, de nos expériences, de nos évolutions et de nos initiatives.

On ne peut pas disposer de plus d’autonomie, certes. Mais comme rien ne se voit de l’extérieur, la mise en

oeuvre nous appartient totalement et, jusqu’à maintenant, notre entourage ne pouvait pas beaucoup nous aider.

La bonne nouvelle : nous avons tous les moyens pour bien nous servir de notre Rolls et de l’intérieur : du « système nerveux », du « cerveau » qu’elle contient… A condition d’y passer un peu de temps.

Ce temps spécifique -l’Atelier FootEyes- est indispensable, surtout que l’on passe aussi du temps à lustrer les ailes, nettoyer les phares et le pare-brise, à s’occuper de ce que l’on voit beaucoup de l’extérieur…

Ainsi « fonctionne » notre vie.
Ainsi l’exige notre corps
et rien n’est dû au hasard.

Jusqu’à ces dernières années, on restait persuadés que nous n’utilisions que 10% de notre cerveau. Ce chiffre ne correspondait à rien, mais disait bien l’évolution que l’on croyait possible… un jour… peut-être ??? … Il fallait attendre les neurosciences.

Ces jours sont maintenant arrivés. Avec FootEyes on a mis en « action », en « pratique » ce que tous les spécialistes de l’éducation et de l’enseignement savent depuis toujours et que les savants répètent inlassablement : l’enfant à un énorme potentiel.

La vraie problématique consistait à trouver comment passer des neurosciences et de leurs affirmations très positives, à l’application réelle pour apprendre des leçons, faire des devoirs ou jouer au basket ou au foot…

Si c’était si simple, on aurait su faire depuis longtemps.

Comme vous le voyez dans la vidéo (dont le lien est ci-dessus), FootEyes a commencé en 2010 et il faut bien le dire, plus nous avançons, plus nous découvrons l’ampleur de ce qui nous attend demain.

L’atelier FootEyes for Excellence s’appuie sur 3 piliers indispensables

(pour réussir à communiquer avec la partie invisible de nous même qui nous constitue et qui nous met en mouvement) :

  • FootEyesTVu – il faut accepter d’être vu. Accepter d’être regardé et (dès que possible) accepter de se regarder soi-même sans complaisance excessive, mais surtout sans excès de dévalorisation.
  • FootEyesTuVois – parce qu’une image vaut 1000 mots. Elle entre directement dans le cerveau. Les clips et les séquences sont donc des moyens formidables pour mémoriser, informer, permettre d’agir et de réagir.
  • FootEyesTCap – parcequ’il faut FAIRE ! Notre cerveau ne se voit pas. Notre système neurologique ne fait pas de bruit. Nous ne pouvons qu’apercevoir les conséquences et encore, uniquement celles qui « transpirent » à l’extérieur, en actes ou en signes visibles.
    FootEyesTCap est fait pour tester et mettre en action notre système nerveux, car c’est son langage. Nous utilisons des accessoires et des exercices spécifiques.

Un ATELIER FootEyes for Excellence réunit 4 à 6 joueurs pendant 30 minutes environ (le reste du groupe est -généralement- avec son coach habituel). Ensuite les joueurs tournent pour que tout le monde puisse bénéficier de l’Atelier FootEyes.

Info : Pour continuer de progresser au plan neurologique, il est bien de participer à un Atelier FootEyes tous les 3 mois environ.

Le Hors-Jeu

Le Hors-Jeu

Comme on l’a vu, quand on est devant le ballon
(plus rapproché de la ligne de but adverse que le ballon)
on est hors-jeu.
Cependant la loi prévoit des exceptions, des »sauf » qui repoussent les limites et font que l’on n’est pas sanctionné.

Voici ces « sauf » et le rappel de la loi XI :

Un joueur est hors-jeu s’il est plus rapproché de la ligne de but adverse que le ballon au moment où celui-ci est joué et s’il a moins de deux adversaires aussi rapproché que lui de leur propre ligne de but.

  • sauf  s’il se trouve dans sa propre moitié de terrain (la ligne médiane est neutre). Une partie tête, corps ou pied doit donc dépasser (les bras ne comptent pas).
  • sauf (pour les jeunes) s’il est hors de la surface de réparation adverse.
  • sauf s’il reçoit le ballon directement sur rentrée de touche, coup de pied de coin (corner), coup de pied de but (6 mètres*) ou s’il reçoit le ballon par un geste volontaire et déterminé d’un de ses adversaires (passe en retrait par exemple).

Et pour tout savoir sur la loi XI – Le Hors-Jeu, tu peux suivre le lien ci-dessous. Tu y trouveras le règlement que diffuse la fifa (Fédération internationale football association). Mais attention, les Fédérations nationales (la FFF par exemple), les ligues et les districts apportent parfois une touche personnelle à ce règlement soit pour s’adapter à des situations spécifiques ou à des catégories de joueurs et joueuses, soit pour essayer de nouvelles lois futures…

https://fr.fifa.com/mm/document/afdeveloping/refereeing/law_11_offside_fr_47384.pdf

*Pourquoi parle-t-on de « 6 mètres » et de « 18 mètres » ?
Comme tu le sais sans doute déjà, le football est « né » en Angleterre vers le milieu du 19ème siècle (en 1857 est apparu le premier club non scolaire).

Les lignes de la surface de but étaient tracées à 6 yards de l’intérieur du poteau (rectangulaire et en bois souvent à l’époque) et à 6 yards de la ligne de but… Quand ce sport est arrivé en France, pour simplifier on à appelé « 6 mètres » la remise en jeu du gardien ou du défenseur quand le ballon est sorti du terrain par la ligne de but sans être entré dans le but. Alors qu’en fait la ligne n’est qu’à 5,50 mètres !

Tu l’as compris on a fait de même avec les 18 yards qui délimitent la surface de réparation. La ligne n’est pourtant qu’à 16,50 mètres de la ligne de but et à 16,50 mètres de la partie intérieure du but de chacun des poteaux…

PapyFootEyes

 

Le Lobe

Le Lobe

Dans cette vidéo les défenseurs ne peuvent rien. Pas assez grands (en taille) pour intercepter le ballon. Quant au gardien, avec cette balle qui vient redescendre juste sous la barre, il ne peut pas grand chose non plus, n’est-ce pas ?

Ce joueur U10 a très bien frappé !

Quand on a encore un peu plus d’âge et d’expérience, on peut utiliser le plat du pied pour « brosser son ballon en dessous ». Cette frappe produit l’élévation du ballon, mais aussi une redescente très rapide qui, souvent, trompe le gardien. Je vous mettrai une vidéo, dès que j’aurai les images.

En tout cas, PapyFootEyes t’invite à essayer de le faire : Brosse le ballon en-dessous pour d’abord le faire monter puis redescendre très rapidement (si possible juste sous la barre). 😉

Le « POINTU »

Le « POINTU »

Le pointu (tir du bout de la chaussure) est peu recommandé en Foot à 11 ou à 8. Cependant il produit des effets très « originaux » sur le ballon et il ne faut pas l’ignorer. Il est même bon de l’expérimenter personnellement et de le travailler comme il convient à l’entraînement.

Dans tous les cas, sur tous les terrains : herbe, synthétique ou Futsal, lorsqu’il s’agit de prendre de vitesse les adversaires à proximité du but, mettre un Pointu est parfois la manière idéale. Les millisecondes que l’on gagne par ce geste font toute la différence.

Même si ça ne réussit pas toujours (nous avons choisi ici un tir qui frappe le poteau), il faut que toi, joueur, tu te connaisses et tu connaisses toutes les possibilités de toutes les surfaces que tu peux employer pour jouer…. Bon jeu ! Et bon travail lors de tes séances d’entraînement personnelles ou en club.

Jouer des 2 PIEDS

Jouer des 2 PIEDS

FINI LE (bon) TEMPS où l’on avait un (seul) bon pied. Sous-entendu l’autre n’était pas « bon ». On ne s’en servait que pour prendre l’autobus, disaient dans un sourire les entraîneurs.

Aujourd’hui tu joues des 2 pieds et c’est tout ! En tout cas c’est vers cela qu’il faut tendre et c’est tant mieux, car nous avons deux pieds, mais aussi deux bras et ces 4 éléments sont indispensables pour bien jouer. En développant leurs capacités, nous produisons aussi des effets très importants pour notre système nerveux… Mais ça, c’est une autre histoire (dont nous reparlerons)…. #FootEyesTuVois

Rentrée de touche pour TOUS les Footballs (LE BALLON EST-IL SORTI ?)

Rentrée de touche (foot à 11 ou à 8)
et FUTSAL ou Beach Soccer.

Une image vaut 1000 mots. Tout est dit dans la vidéo. En 19 secondes on peut éviter de se faire confisquer le ballon par un coup de sifflet de l’arbitre. C’est si simple de faire « une touche » comme il faut !

A noter que le joueur qui lance le ballon doit être hors du terrain, mais pas au-delà de la main courante. ATTENTION ses pieds doivent être hors du terrain ou sur la ligne de touche ! ! !

On peut noter aussi (dans la séquence vidéo ci-dessus) le renvoi immédiat du joueur qui reçoit le ballon, vers le joueur qui a effectué la rentrée de touche. C’est souvent la plus rapide et la plus efficace façon d’inverser le sens du jeu en direction du but adverse… Même si le ballon recule de quelques mètres.

Où envoyer le ballon ?
– Vers l’avant ?
– A mon niveau ?
– Vers l’arrière ?

Ce sont les bonnes questions et ta réponse est importante, car elle va donner consistance à la phase de jeu qui suit.

  • RENTRÉE DE TOUCHE Vers l’avant

    il y a 2 possibilités soit sur ton partenaire, soit au-delà de ton partenaire (dans l’espace entre ton partenaire et le but adverse).
    • Sur ton partenaire 3 possibilités
      • dans ses pieds. C’est la solution choisie dans la vidéo ci-dessus. On l’a dit, renvoyer à l’envoyeur, est une bonne façon de se remettre dans le sens du jeu car le joueur qui reçoit la balle étant dos au but, il est souvent compliqué « d’effacer » l’adversaire qui est dans son dos. Compliqué ne veut pas dire impossible !
      • sur sa poitrine – ça marche. Mais le temps qu’il amortisse le ballon et que celui-ci descende au sol, il faut être capable de le protéger ce ballon. Sinon on a perdu la possession, n’est-ce pas ?
      • sur sa tête (s’il est grand et habile de la tête c’est une bonne solution). Il va pouvoir déborder facilement son adversaire (qui est dans son dos généralement), en orientant simplement le ballon là où il préfère aller. On devrait en tirer avantage…
    • RENTRÉE DE TOUCHE au-delà de ton partenaire, vers l’avant.
      • C’est ton lancer qui fait la différence. Si tu as de la puissance (et de la précision) et que tu peux mettre dans l’espace (soit par dessus, soit à droite, soit à gauche et que ton partenaire sait en profiter (grâce à votre synchronisation et à votre connivence). C’est génial ! ça « efface » l’adversaire direct et ça crée une brèche dans la défense adverse, en direction du but…. Très efficace !
  • Rentrée de touche à mon niveau

    • Pourquoi pas ? Mais souvent un peu plus faible comme choix. Un peu moins dynamique.
    • Pour la destination du lancer, on a les même possibilités que vers l’avant : tête, pieds, poitrine.
  • Rentrée de touche vers l’arrière

    • C’est une bonne solution
      • parce qu’elle met tout de suite mon partenaire dans le sens du jeu (face au but adverse).
      • le receveur peut me renvoyer le ballon ou l’envoyer en jeu court ou en jeu long vers un de nos partenaires (y compris le gardien).
      • on peut lancer une attaque efficace, en fonction des forces et faiblesses de l’adversaire.

En clair, apprendRE à lancer le ballon là où tu veux et FAIRE la rentrée de touche comme il convient en fonction du jeu et des adversaires EST UNE ARME REDOUTABLE.

Et si tu es le receveur. Apprendre à synchroniser ton appel / contre-appel avec le ou les lanceurs de ton équipe c’est super aussi…

Et moi qui suis défenseur ?
Que dois-je faire sur rentrée de touche ?

Forts de ce que nous venons de voir,
ton rôle de défenseur consiste à :
  • lire très vite la volonté du receveur
  • l’empêcher de bien contrôler
  • le gêner pour relancer le jeu
  • et lui barrer la route vers ton but.
Le tirage du maillot, n’étant pas une action autorisée
(sanctionnée par l’arbitre d’un coup franc direct)
il te reste à user des arguments légaux
essentiellement ton corps.
Soit tu peux intercepter le ballon de la tête ou du pied, mais en général le receveur a l’avantage d’être plus près que toi du lanceur. C’est donc rarement possible.
Il te reste deux moyens classiques :
  1. empêcher le receveur de se positionner où il est bien pour recevoir et pour jouer le ballon.
  2. couper la trajectoire du joueur (en contestant le ballon sinon tu risques d’être sanctionné d’un coup franc indirect pour obstruction). C’est ce que j’appelle pourrir le ballon. Pour un défenseur « pourrir le ballon » est un art utile. C’est savoir rester debout et présent, sans faire faute, mais en éloignant l’adversaire de la trajectoire idéale qu’il souhaite prendre.
 Bon, il ne vous reste qu’à faire de belles remises en jeu après sortie en touche, avec de grosses oppositions tactiques et techniques entre les deux équipes… Mais sans pousser ni tirer (maillot ou corps de l’adversaire avec la main ou le bras). C’est interdit !

La rentrée de touche en FUTSAL
et Ligne Franchie ou pas ?

Le principe est simple. La ligne est franchie si aucune partie du ballon ne surplombe plus la ligne. Que ce soit la ligne de BUT ou une ligne de touche.
La particularité du Futsal c’est que la rentrée de touche se fait avec le pied.
Et au Beach soccer, c’est que l’on a le choix soit au pied, soit à la main.
Au Futsal comme au Beach Soccer, en plus, on n’a que 5 secondes pour remettre la balle en jeu et les adversaires doivent se tenir à 5 mètres au moins du ballon.
#FootEyesTuVois